Le Groupe-Elegans ( traduction google pas retouchée )
Alors que le groupe elegans semble distinctif, il a été difficile de définir les frontières entre les espèces au sein du groupe. Le patron des mâles peut aller de  quelques taches rouges à de nombreuses le long des côtés, souvent disposés en rangées régulières. Certaines formes du pigment rouge peuvent être disposées en fines barres verticales. L'identification spécifique des populations depuis longtemps pour les aquariophiles a souvent changé. Cela s'explique par de nombreuses descriptions début étant de mauvaise qualité à l'égard des détails de modèle de couleur. En outre, la signification taxonomique des différences dans les patron ratherminor  à partir de différents endroits est mal comprise. La plupart des formes habitent le vaste bassin du Congo avec certains membres se produisent dans le bassin supérieur du fleuve Ogooué au sud-est du Gabon.
      Les données moléculaires appuient clairement un groupe monophylétique qui comprend la plupart des noms précédemment attribué au groupe elegans (A. cognatum, A.christyi, A. elegans, A. rectogoense, A. Lamberti, et A. congicum). Alors que la taxonomie de ce groupe est encore en suspens (Zee et Huber, 2006), ces données suggèrent que les approches moléculaires seraient très utiles pour résoudre les relations, si un plus grand ensemble d'échantillons étaient disponibles. Pour l'échantillonnage limité présentés ici, certains sous-groupes de taxons apparentés sont dans la proximité géographique. Deux populations de la baisse du Congo (populations Z 91 / 1 et Madimba) sont mutuellement plus proche parent et sont proches géographiquement aussi. Ces données sont cohérentes avec la suggestion de Conrad (1999) que les deux être considérés comme des populations de A. schioetzi. Par ailleurs, ces formes du bassin de l'Ogooué rivière (A. et A. Lamberti rectogoense) et la zone proche géographiquement autour Epoma, Congo (A. plagitaenium), sont plus étroitement liés les uns aux autres qu'ils ne le sont à d'autres formes du fleuve Congo bassin de bon.

      D'autre part, certains taxons qui semblent être très similaires au niveau moléculaire
proviennent d'endroits très éloignés. Par exemple, la population codés comme HZ 85 / 8 (anciennement dénommée A. christyi mais maintenant attribué à A. castaneum (Zee et Huber, 2006)), et la population appelée A. Polli (Radda et Purzl, 1987b), proviennent d'endroits près de Kisangani et Kinshasa, respectivement. Les trois populations appelées Lobaye, Oyo, et Maindombe sont également groupés encore sont répartis sur une vaste zone, de la République centrafricaine et la République populaire du Congo à la République démocratique du Congo. La population du lac de FWA, République démocratique du Congo est moléculairement semblable à A. decorsei de la République centrafricaine. Peut-être ces relations étroites entre les populations dispersées géographiquement est liée à la conclusion que le groupe dans son ensemble est plutôt jeune et n'a que récemment entré dans une grande surface et nouveaux, à savoir le bassin du fleuve Congo, comme nous l'avons précédemment affirmé (Murphy et Collier, 1999) .

   Il ya des taxons qui étaient auparavant affectés au groupe elegans, mais pour lesquels les données moléculaires ne supporte pas une telle affiliation. Scheel (1990) placée A. labarrei, A. punctatum, et A. wildekampi au sein du groupe elegans. Les données moléculaires exclure clairement ces taxons de ce groupe. Ces taxons aussi provenir de zones assez éloignées de la zone occupée par le groupe moléculairement définis.

Extrait de : The Genus Aphyosemion: Taxonomic History and Molecular Phylogeny Department of Biological Science, The University of Tulsa, 600 S. College Ave., Tulsa, OK 74104 Illustrations by the Author except as marked Photos by A. Terceira except as marked By Glen E. Collier